Soka Gakkai Bibliothèque du bouddhisme de Nichiren

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Jamais-Méprisant Nom de Shakyamuni lors d’une existence antérieure vécue en tant que bodhisattva. Son histoire est racontée dans le chapitre “Le bodhisattva Jamais-Méprisant” du Sūtra du Lotus. Après la disparition du bouddha Roi-Son-Majestueux dans le très lointain passé, il fit preuve de respect envers tous les êtres humains, en considérant que chacun possédait de manière inhérente la nature de bouddha. Malgré les moqueries et les attaques à coups de bâton et de pierres, il poursuivit sa pratique. Ses pourfendeurs tombèrent en enfer mais, après avoir expié leurs fautes, ils renaquirent avec lui et furent sauvés par la pratique du Sūtra du Lotus. Nichiren cite souvent l’histoire du bodhisattva Jamais-Méprisant pour illustrer le principe de l’atteinte de l’illumination grâce au lien d’opposition, autrement dit grâce au lien formé avec la Loi en s’y opposant ou en la calomniant.

Jambudvipa On disait qu’autour du mont Sumeru, considéré comme le centre du monde, existaient quatre continents, situés aux quatre points cardinaux. Le Jambudvipa était le continent sud, lieu d’apparition des bouddhas. Ce terme désigne souvent le monde entier.

Jianzhen Voir Ganjin.

Jiaxiang Voir Jizang.

Jie Dernier souverain de la dynastie des Xia en Chine. Le roi Jie sombra dans une vie dissolue, marquée par la tyrannie et l’extravagance, au grand désespoir de son peuple. Il entraîna ainsi la chute de sa dynastie. Avec le roi Zhou, de la dynastie des Yin (Shang), il est considéré comme l’exemple même du tyran.

Jien (1155-1225) Moine de l’école Tendai, au Japon. À quatre reprises, il exerça la fonction de grand patriarche de l’Enryaku-ji, temple principal de l’école Tendai situé au mont Hiei.

Jikaku (794-866) Également connu sous le nom d’Ennin ou Grand Maître Jikaku. Troisième grand patriarche de l’Enryaku-ji. En 838, il se rendit en Chine où il étudia à la fois les enseignements de Tiantai et le bouddhisme ésotérique. De retour au Japon, il devint responsable de l’école Tendai et introduisit des éléments ésotériques dans les doctrines du Tendai.

Jimmu Selon les plus anciennes chroniques japonaises, il s’agit du premier empereur légendaire du Japon, qui aurait fondé la nation japonaise, en 660 avant notre ère.

Jing Ke (mort en 227 avant notre ère) Sabreur qui, à la demande du prince Dan, de l’État de Yan, tenta d’assassiner le roi de Chin, souverain qui par la suite unifia la Chine et devint le premier empereur de la dynastie des Jin.

Jingangzhi (671-741) (skt. Vajrabodhi) Érudit indien de l’enseignement ésotérique. Il étudia les enseignements ésotériques en tant que disciple de Nagabodhi avant de se rendre en Chine en 720, où il obtint le soutien de l’empereur Xuanzong. Il traduisit plusieurs textes en chinois et fut le maître de Bukong.

Jivaka Médecin talentueux et fervent bouddhiste de l’État du Magadha, en Inde, il fut ministre du roi Ajatashatru. Il parvint à la célébrité en soignant le roi Bimbisara et le bouddha Shakyamuni. Jivaka dissuada Ajatashatru de tuer sa mère et persuada par la suite le roi de rechercher les enseignements du Bouddha quand tout son corps se retrouva couvert de plaies terribles.

Jizang (549-623) Également appelé Jiaxiang. Moine de l’école Sanlun (jp. Sanron) en Chine, parfois considéré comme le premier patriarche de cette école.

Jizha (dates présumées : 561-515 avant notre ère) Fils de Shou Meng, roi de Wu, en Chine. Selon la tradition, pendant son voyage, Jizha rencontra le seigneur des lieux, qui convoita son sabre précieux sans oser le lui demander. Jizha sentit le désir du seigneur et décida de lui offrir le sabre lorsqu’il reviendrait à Xu. Mais, à son retour, il apprit la mort du seigneur. Il plaça alors le sabre en guise d’offrande sur sa tombe.

Jōen-bō (d.i.) Moine du Renge-ji à Hanabusa, dans le village de Hōjō, de la province d’Awa, au temps de Nichiren. On pense que le Renge-ji était une branche du Seichō-ji.

Jōgū Voir Shōtoku.

Jōken-bō Voir Gijō-bō.

Joyau mani Voir Mani.

Joyau-qui-exauce-tous-les-vœux Joyau qui aurait le pouvoir d’exaucer tous les vœux. Il symbolise la grandeur et la vertu du Bouddha et des sūtras.

Jufuku-ji Temple zen de l’école Rinzai, situé à Kamakura, au Japon. Bâti en 1200 par Hōjō Masako, veuve de Minamoto no Yoritomo, et inauguré par Eisai, il constitue l’un des cinq temples majeurs de la branche Rinzai du Zen, à Kamakura, et joue un rôle clé dans l’essor du Zen au Japon.

Jūrō On ne sait rien de ce moine séculier, sinon qu’il habitait à Kamakura.

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